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Aurélien

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Passionné de Web & de voyages, je suis le fondateur de Memotrips.com, un service permettant de créer des carnets de voyage connectés.

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On a coutume de dire que l’espace touristique se réduit. Pour s’en convaincre il n’y qu’à se rendre sur les sites du ministère des Affaires étrangères ou de l’OMS (organisation mondiale de la santé).
Lorsqu’en 1957, l’URSS lance le premier satellite artificiel autour de la Terre, Spoutnik, s’ouvre une nouvelle ère : celle de la conquête de l’espace qui amène très rapidement à se poser des questions de nature très diverse, dont celles afférentes à la réglementation et au droit de l’espace.

L’espace utilisé pour le bien commun de l’Humanité

Dans cette optique, dès 1959, fut créé un organe spécifique au sein de l’Assemblée générale des Nations Unies : le Comité pour l’utilisation pacifique de l’espace extra-atmosphérique. En 1963, l’Assemblée générale de l’ONU adoptait une résolution qui consacrait les principes fondamentaux relatifs à ce nouveau domaine d’activités. Selon ce principe, devenu règle de droit international coutumier, aucun Etat ne peut donc se voir imposer des restrictions ou des conditions par un autre Etat pour accéder à l’espace extra-atmosphérique, l’explorer et l’utiliser conformément au droit international.
En pleine Guerre Froide et pour faire face aux risques de guerre, le Traité sur l’Espace, ouvert à la signature le 27 janvier 1967, entra en vigueur le 1 0 octobre 1 967. Signé par plus d’une centaine d’Etats, il interdit l’aménagement de bases ou d’installations militaires sur les corps célestes et la mise en orbite autour de la Terre d’armes de destruction massive (dont les armes nucléaires).
Depuis les années 70, faute de consensus, aucun traité d’envergure internationale n’a été voté, si ce n’est celui régissant les activités des Etats sur la Lune et les autres corps célestes, entré en vigueur le 11 juillet 1984. Cet accord a été conçu pour assurer sur une base équitable une exploitation ordonnée et sans risque des ressources naturelles de la Lune. Il n’a toutefois été ratifié que par neuf États, les USA et la Russie refusant de le signer.
Pour le moment, certains pays ( en particulier les Etats-Unis ) légifèrent de leur côté pour encadrer les activités émergeantes. Ainsi, en 2004, ils ont publié le Commercial Space Launch Amendments Act, un texte qui organise le tourisme spatial. Mais au niveau international, tout est bloqué. Force est donc de constater, que pendant des années, le droit a pris du retard sur la réalité de l’activité spatiale et notamment en regard du développement attendu du tourisme spatial.

Le tourisme spatial bientôt une realité

Pourtant, il y a urgence : bientôt le tourisme spatial va devenir une réalité et donc de plus en plus de vaisseaux vont emmener des particuliers dans l’espace. Les contentieux impliquant les consommateurs vont inévitablement se multiplier. Sans règlement international, juger de ces affaires sera un vrai casse-tête. Pour trancher, les juges ne sauront pas s’il tout appliquer la législation française, russe, américaine …
C’est pourquoi, depuis la déclaration de l’Organisation de l’aviation civile internationale IOACI) en mars 2016, les choses semblent s’accélérer en matière de vols.

Le droit a du mal à rattraper les progrès de la science

Au fond il y a deux façons de voir les choses. Certains regretteront que l’on cherche par des textes à reproduire dans l’espace ce que nous avons fait sur Terre, c’est-à-dire la volonté de créer des frontières, de tout rendre marchand. D’autres y verront, en revanche, le moyen de pouvoir poursuivre l’aventure, en donnant des garanties aux sociétés détenues par ces milliardaires passionnés par le rêve spatial et qui aujourd’hui investissent dans l’espace.
Il faudrait donc pour cela que le droit international évolue pour permettre de poursuivre cette aventure, mais de manière encadrée et négociée à l’échelle internationale.
Généralement, le droit suit les progrès de la science avec un trop grand retard. Le droit de l’espace n’y déroge pas.
Mais à ce jour l’espace, comme le stipule toujours depuis 1963 l’assemblée générale de l’ONU, reste un espace sans frontières, puisque « l’espace n’appartient à personne et les corps célestes sont à tout le monde ».

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Avec 3000 heures d’ensoleillement par an, la station de sports d’hiver de Font-Romeu présente les conditions climatiques les plus favorables pour réussir des vacances consacrées aux sports d’hiver. Et pour cause, comme le soleil et la neige cohabitent merveilleusement dans la station, Font-Romeu/Pyrénées 2000 offre à ses vacanciers l’un des plus grands domaines équipé d’un important enneigement artificiel des pistes. En matière de ski alpin, 34 pistes sur 54 kilomètres accessibles à tous les niveaux et 32 remontées mécaniques attendent les skieurs de tous niveaux. Du côté du ski nordique, 111 kilomètres de boucles tracées et balisées sont prévues pour les férus de ski de fond.

Destination Font-Romeu pour des vacances inoubliables 

Font-Romeu est certainement une des stations de ski parmi les plus connues des français et cela ne date pas d’aujourd’hui mais de 1968. En effet, c’est l’année où l’équipe de France d’athlétisme y avait élu domicile afin de s’entraîner pour les Jeux Olympiques. Le temps souvent dégagé, son air pur et sec et sa très faible pollution en font une destination sportive incontournable. Et ce n’est pas Martin Fourcade, l’enfant du pays, triple médaillé des Jeux Olympiques de Sotchi qui dira le contraire. Mais nul besoin d’être un sportif de haut niveau pour aller s’entraîner à Font-Romeu. La station est ouverte à tous et propose des activités à tous ses vacanciers. Ski de piste, ski de fond, snowboard, randonnées en raquettes mais aussi luge ou simple farniente au soleil, chacun y trouvera sa place ainsi que de quoi s’occuper pendant son séjour.

Côtoyer la nature

Ainsi, pour tous ceux qui souhaitent s’offrir un “break tonique”, équitation, tir à l’arc, centre équestre et bien d’autres encore viennent s’ajouter à la longue liste d’activités pouvant être pratiquées dans les environs. Quant à la découverte des paysages environnants, des pâturages, des petits ruisseaux, et des lacs de montagne, rien de tel que la marche à pied. L’office de tourisme de Font-Romeu met à la disposition du public une documentation complète sur la région et ses sentiers de promenade.
A la richesse des équipements sportifs s’ajoute un important patrimoine culturel : l’ermitage Notre-Dame-de-Font-Romeu, un lieu de pèlerinage célébré dans toute la Cerdagne, ou encore le grand four solaire expérimental d’Odeillo, sans oublier les fameuses sources d’eau chaude. L’eau qui jaillit des profondeurs à une température de 58 degrés, doit être refroidie avant que les visiteurs locaux ou venus de loin, ne puissent s’y tremper. L’eau est bicarbonatée, riche en fluor, en silice et en oligo-éléments. Un plancton thermal spécifique est réputé pour son action antalgique, décontractante, antiallergique et cicatrisante. De quoi faire des kilomètres pour s’y régénérer et remplir son carnet de voyage.

Choisissez un séjour en résidence 

L’offre de location à Font-Romeu est large. Mais le séjour en résidence semble être un excellent choix. On y trouve des prix très abordables pour des formules vraiment très attrayantes. Que diriez-vous de passer une semaine en  résidence de standing, au beau milieu d’une station de ski ? Bain à remous, salle de sport, piscine intérieure chauffée, location de matériel de ski, tout est prévu pour rendre votre séjour idyllique. Que vous soyez en amoureux, en famille ou entre amis, vous y trouverez le logement adapté. Alors pourquoi attendre pour réserver ? Pensez dès à présent à vous échapper de la grisaille !

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Chez Memotrips, on aime les carnets de voyage. Tous les carnets de voyage alors on regarde souvent ce qui se passe et les innovations permettant de mieux conserver et partager ses souvenirs de voyage. Nous avons découvert MyMinuteTrip il y a quelques jours.

Après une première expérimentation en avril 2018, Philippe Berthelot et Johann Prod’homme lance leur carnet de voyage vidéo. La start-up cherche à apporter une nouvelle expérience aux touristes, en leur proposant d’organiser leur voyage eux-mêmes grâce à des courtes vidéos. A l’heure actuelle, MyMinuteTrip propose 800 vidéos et 400 utilisateurs sur toute la France.

Pour comprendre le fonctionnement du site, Johann Berthelot explique qu’il s’agit d’uune application faite pour retrouver les codes des services de vidéos à la demande, mais sur le thème du tourisme. Une fois l’application installée, le système de géolocalisation du smartphone prend le relais pour proposer des activités dans un périmètre réduit en les présentant sous forme de vidéos d’1 minute.
Le choix de la vidéo pour ce carnet de voyage n’est pas anodin. Si l’entreprise a choisi d’axer sur ce format, c’est qu’il est en pleine explosion et permet de toucher l’ensemble du secteur du tourisme. « D’ici 2020, 80 % des flux internet globaux seront liés à la vidéo. C’est un format international par essence, qui nous permet de transmettre les infos en très peu de temps », explique Johann Prod’homme.

Prochaine étape pour la petite équipe : développer un algorithme qui permettra d’organiser un voyage personnalisé, en fonction des contraintes, que ce soit la présence d’un bébé ou les moyens de transport.

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Tony Wheeler a dit « Tout ce que vous avez à faire c’est décider de partir. Et le plus dur est fait ». En citant cette phrase, Tony Wheeler a très certainement omis les galères qui précèdent le départ en voyage ! En effet, préparer un voyage demande beaucoup d’organisation et de temps : chercher un logement, comparer les prix, planifier les activités… Nombreux sont les voyageurs qui abandonnent à peine ont-ils eu l’idée de partir. Pour vous aider dans vos préparatifs, nous vous avons déniché votre futur compagnon de voyage préféré : Best-itinerary.

Des itinéraires gratuits réalisés grâce à l’expérience des voyageurs

La plateforme Best-itinerary met à disposition des voyageurs une multitude d’itinéraires gratuits et préparés avec amour par leurs équipes de baroudeurs professionnels. Cette plateforme a été conçue pour les voyageurs en manque de temps, d’inspiration ou tout simplement d’organisation.
Vous trouverez sur Best-itinerary une diversité d’itinéraires : des road-trip dans la jungle pour les aventuriers, des découvertes d’îles paradisiaques pour les « Robinson Crusoé », des circuits dans les montagnes pour les sportifs ou encore des visites de lieux touristiques pour les plus classiques… Il y en a pour tous les goûts.

Avec Best-itinerary, finis les millions d’onglets ouverts en même temps !

Avec la digitalisation, nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser internet pour organiser nos voyages. Souvenez-vous, lors de la préparation de votre dernier voyage, lorsque vous consultiez un nombre incalculable d’itinéraires sur internet, avec vos 50 pages ouvertes, votre ordinateur en surchauffe et votre bout de papier griffonné de partout. Vous vous souvenez ?
L’équipe Best-itinerary vous fait la promesse que cela n’arrivera plus. L’objectif de cette plateforme est d’allier clarté et praticité. Vous retrouverez sur une seule et même page toutes les informations nécessaires à la bonne préparation de votre itinéraire : la durée du séjour, les différentes étapes, les temps de trajets, les lieux à visiter, etc.

De nouveaux itinéraires sont créés chaque jour et de nouvelles destinations sont déjà en cours d’exploration. Si vous souhaitez consulter les différents itinéraires proposés par Best-itinerary, rendez-vous sur le site : Best-itinerary

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Qu’est ce que le tourisme durable ? Il y a quelques mois, l’association ATR a interrogé plus de 7.000 voyageurs sur leur perception de ce type de tourisme. Si quelques clichés demeurent, la sensibilité du grand public pour le développement durable est bien réelle et le contexte favorable a un changement de culture. Cette article faut suite à notre article publié courant 2017 sur le tourisme solidaire.

LE TOURISME DURABLE EST MULTIPLE : VRAI

Parmi les 7 000 voyageurs qui ont participé à l’étude réalisée par Agir pour un tourisme respon sable (ATR), ils ne sont que 5 % à penser que le tourisme responsable concerne essentiellement les pays en développement. 60 % estiment en revanche qu’il est possible partout, en France comme à l’autre bout du monde. Et leur perception est vaste. Pour plus de 90 % des sondés, le tourisme durable est synonyme de respect du patrimoine, de la culture et des populations d’accueil; pour 85 %, de préservation de la faune et de la flore ; et pour 60 %, voyager responsable consiste à faire des rencontres avec les habitants et à vivre à la mode locale. Pour la majorité des sondés, il ne s’agit donc pas forcément d’aider. Seulement 15 %pensent qu’il faut participer à un chantier solidaire sur place ou faire un don à une association de la région visitée pour voyager responsable.

LE TOURISME DE MASSE N’EST PAS RESPONSABLE : VRAI / FAUX

Seulement 50 % des sondés par ATR pensent que le tourisme responsable est en opposition avec le tourisme de masse et qu’il est nécessaire de voyager en petits groupes. Les voyageurs ont donc en partie compris que la taille des groupes n’est pas un critère. Le tourisme dit de masse peut être responsable si tant est que les flux soient répartis dans l’espace avec, par exemple, une valorisation des arrière-pays, et dans le temps avec, pour­quoi pas, de grandes amplitudes horaires de l’ouverture des sites permettant aux visiteurs de profiter des lumières du matin ou du soir. Les équipements touristiques intègrent aussi les solutions du développement durable, à l’image des golfs arrosés avec les eaux usées retraitées plutôt que pompées dans la nappe phréatique, ou des aéroports qui acheminent les avions jusqu’aux pistes de décollage à l’aide de tracteurs électriques.

CELA COÛTE PLUS CHER DE VOYAGER RESPONSABLE : FAUX

Pour un tiers des répondants, voyager responsable coûte plus cher. Pourtant, faire un voyage durable, c’est loger chez l’habitant ou dans des chambres d’hôtes; acheter de la nourriture chez le producteur de la région ou encore circuler avec un bus local. Donc, a priori, rien de plus cher. De plus, les hébergements engagés dans une démarche durable ont inclus leurs investissements dans le temps et ne sont pas forcément positionnés sur le haut de gamme. Le Solar Hôtel à Paris en est la preuve. Cet établissement deux étoiles, qui a bâti tout son concept autour du développement durable, affiche un tarif de 79 € la nuit. Dans un autre style, l’association La Via Natura regroupe dix-sept campings en France situés dans des sites naturels préservés. Des campings à taille humaine, en grande majorité de niveau deux ou trois étoiles, qui favorisent la vie économique locale et la préservation de l’environnement.

LES VOYAGEURS NE SONT PAS PRÊTS À FAIRE DES CONCESSIONS : FAUX

25 % des personnes interrogées par ATR estiment encore que voyager responsable est plus contraignant qu’un voyage dit classique. Ils sont en revanche de plus en plus nombreux à vouloir tenter l’expérience, à condition toutefois que cela ne soit pas trop contraignant. 94 % se disent prêts à séjourner dans un hébergement équipé d’ampoules à économie d’énergie, 89 % avec des systèmes de chauffage ou de climatisation fonctionnant uniquement pendant leur présence ou encore 80 % avec des douches à pression d’eau plus faible.

FAIRE UN VOYAGE DURABLE DEVIENT UN CRITÈRE DE PLUS EN PLUS DÉTERMINANT : VRAI

Deux tiers des sondés jugent que le tourisme responsable est un critère que devrait intégrer les professionnels du tourisme. Ils ont d’ailleurs bien compris leur intérêts puisque 90% des voyageurs pensent qu’ils tirent un bénéfice personnel du tourisme responsable comme le fait de consommer local, de participer à la valorisation des emplois locaux et à la préservation de l’environnement. Ils sont aussi très majoritairement opposés à l’idée que le voyage même responsable a forcément un impact négatif.

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Véritable petit écrin de paix, Madère oscille entre mer et montagnes. C’est une île que l’on découvre en marchant, au rythme de la nature. Madère est un terrain de jeu immense pour les randonneurs passionnés : « levadas », forêts luxuriantes, et points de vue sur la mer. Nous avons sélectionné pour vous les meilleurs treks pour un voyage inoubliable.

L’île de Madère : île du paradis

L’île de Madère se trouve en plein océan Atlantique à environ 900 km du Portugal et 600 km de la côte du Maroc. Elle est réputée pour son vin, ses broderies, et surtout ses fleurs exotiques et autres fruits tropicaux. L’île de Madère est de plus en plus attrayante : avec ses paysages à couper le souffle et sa nature luxuriante, Madère attire les randonneurs du monde entier. Surnommée la Perle de l’Atlantique, son climat subtropical en fait d’elle une île baignée de soleil toute l’année où règne une douceur de vivre très convoitée.

1. Randonnée le long des levadas

Les levadas de Madère, ce sont ces petits canaux d’irrigation ou aqueducs construits pour acheminer d’importantes quantités d’eau du Nord-Ouest de l’île au Sud-Est, là où l’agriculture et l’habitat étaient plus propices. L’une des levadas les plus célèbres est la Levada do Caldeirão Verde, prolongée par la Levada Caldeirão do Inferno, avec près de 40 kilomètres de long au total. Les deux permettent une randonnée inoubliable et des points de vue à couper le souffle. En plein cœur de la forêt de Lauracées, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, cette randonnée pédestre est l’une des plus belles de l’île. Ce trek de difficulté intermédiaire commence à la maison Das Queimadas et se poursuit par des petits sentiers (suivre les panneaux indicatifs) et quelques tunnels où il est important d’avoir avec soi une lampe de poche. Après environ 3-4 heures de marche dans la forêt et des paysages incroyables, vous arriverez au Chaudron Vert où une magnifique cascade d’eau claire vous accueillera. Les plus courageux et téméraires pourront continuer jusqu’au « Cirque de l’Enfer » en passant par les gorges étroites de la Ribeira Grande. Ce canyon est impressionnant. Au bout de plusieurs heures de marche le long des sentiers, vous voilà arrivé à la Caldeirão do Inferno. Le cirque de l’enfer se mérite !

  • Durée : entre 3h et 5h
  • Difficulté : Intermédiaire puis difficile
  • Equipement : lampe torche, imperméable, chaussures et chaussettes de marche
  • Dénivelé : 100m

Il est également possible de faire d’autres beaux parcours le long des levadas comme la randonnée des 25 fontaines et ses multiples cascades.

2. Le Pico do Arieiro et le Pico Ruivo : le toit de Madère

Chaussez vos chaussures de randonnées et partez découvrir le sommet des rochers ! Cette randonnée de presque 14 kilomètres et de plus de 5 heures est réservée aux randonneurs confirmés. Le départ se fait de l’observatoire du Pico de Arieiro. Il suffit ensuite de suivre le chemin balisé en passant par le tunnel du Pico do Gato et de monter jusqu’au Pico Ruivo (qui est le plus haut sommet de l’île avec 1862 mètres d’altitude) où un refuge vous accueillera pour consommer quelques rafraichissements. Le sentier surplombe des falaises escarpées et le paysage est à couper le souffle, un véritable voyage d’aventures à Madère.

  • Durée : 5h
  • Difficulté : confirmé
  • Equipement : chaussures de randonnée, vêtements de sport
  • Dénivelé : 800m

Hiking trail passage from mountain Pico Arieiro to Pico Ruivo, Madeira

3. Festa da flor : entre treks et festival des fleurs de Madère

Au mois d’avril, un hommage est rendu aux fleurs magnifiques de l’île de Madère. Au cours de cette fête éblouissante mêlant couleurs et parfums, Funchal, la capitale, se remplit de chars, de locaux costumés et de milliers de fleurs. Vous pouvez ainsi partir en randonnées à la découverte du festival des fleurs de Madère accompagnés éventuellement d’un guide Atalante pour allier florilège de fleurs tropicales et randonnées découvertes sur l’île de Madère. En petit groupe, il est ainsi davantage possible d’apprécier l’ambiance si singulière de cette fête exceptionnelle. Vous pouvez commencer votre circuit par la fête entre mi-avril et début mai, puis, durant 8 jours parcourir cette île de fond en comble grâce à des treks faciles plus exceptionnels les uns que les autres : Caldeira Verde, Arco Sao Jorge, Vallee De Boaventura, Porto Moniz, Rabacal, Jardim Do Mar…

  • Durée : 8 jours
  • Difficulté : Facile
  • Equipement : chaussures de randonnée, vêtements de sport
  • Dénivelé : Entre 100 et 400m selon les jours et les treks

Flower girlands decoration, Madeira island, Portugal

Pour des vacances sportives réussies, partez à la découverte des trésors de l’île de Madère. Encore peu connue, le tourisme y est en plein boom. En tant que marcheurs invétérés, vous ne serez pas déçus du voyage et des nombreuses possibilités de treks offertes par cette île surnommée le petit paradis de la randonnée.

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Le Chili est une destination de charme qui séduit les bourlingueurs assoiffés de paysages différents de ce qu’ils voient d’habitude. Peu importe le goût de ces derniers, ils y trouveront leur compte dans le pays, car celui-ci recèle des plaines désertiques, des villages typiques ou des forêts immenses. Pour commencer le séjour au Chili, la ville de Santiago est incontournable. De ses musées à ses marchés, les choses à voir dans cette région ne manquent pas. Il vous est recommandé de visiter la Moneda qui vous impressionnera de par son bâtiment aux architectures néoclassiques et sa riche histoire. Par contre, il est impossible de passer à Santiago sans s’attarder au Cerra San Cristobal, là où se trouve la grande statue de la Vierge Marie. Vous pourrez gagner cette colline à pied ou par funiculaire. Arrivé sur le lieu, vous jouirez d’une vue spectaculaire sur toute la cité.

À Valparaiso pour humer l’ambiance vivifiante du Chili

Poursuivez votre route jusque dans le centre de Valparaiso. L’ambiance nocturne et la vie artistique sont les choses que les voyageurs apprécient beaucoup à cet endroit. De ce fait, vous rencontrerez les plus belles fresques au Cerro Bellavista ou au Cerro Polanco, là où les graffeurs les plus connus ont laissé leur trace. À part cela, plongez dans l’univers fascinant de Pablo Neruda à la Sebastiana. La maison de cet artiste, transformée en musée a été construite sous forme de paquebot et dispose d’une bibliothèque et d’un atelier où sont exposés ses objets. Vos séjours au Chili se complètent par la découverte des différents quartiers de cette région qui sont perchés sur les montagnes et proposent tous un panorama sur l’océan Pacifique. De même, vous pouvez terminer la balade autour des plages de Quintay tout en appréciant l’atmosphère douce et pure de ce village.

S’arrêter sur plusieurs recoins de la Carretera australe

La Carretera australe relie les villes de Puerto Montt et de Villa O’Higgins. Cette route est très fréquentée par les touristes, car elle renferme de paysages incroyables allant de magnifiques fjords à l’eau translucide et forêts denses aux glaciers bleutés. Séjournez au Chili pendant quelques semaines et vous vivrez certainement une expérience inouïe au cours de votre périple. Parmi l’endroit à découvrir dans ce secteur, le parc national de Queulat est un excellent choix pour se dépayser au cœur d’une nature sauvage entourée de cascades, rivières et de glaciers. De l’autre côté, la rivière de Futaleufu attire les passionnés de sports nautiques puisque c’est une destination par excellence pour faire du rafting. En revanche, il n’est pas nécessaire d’avoir une expérience en ce sport pour y participer étant donné qu’une bonne condition physique suffit pour faire avancer le canot. En outre, vous y observerez des Indiens mapuches s’amusant à pêcher la truite. Cette activité s’agit de leur pratique ancienne qui consiste à obtenir le poisson et à le relâcher rapidement.

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Tuyau d’arrosage dans chaque main, casquette en plastique vissée sur la tête, tout le monde s’asperge allègrement… pour leur plus grand plaisir! À Rangoun, la capitale de la Birmanie, pendant Thingyan le Nouvel An bouddhiste, du 12 au 16 avril – pas question de passer entre les gouttes: l’enthousiasme est proportionnel au degré d’humidité. Karcher, lance à incendie, pistolet à eau, bouteille … Tous les outils sont bons pour tremper les badauds échaudés par les 40 °C ambiants.

Pourquoi cet étrange rituel ? Symboliquement, l’eau lave les péchés de l’année écoulée, et apporte paix et chance pour l’année à venir. Les bouddhistes, qui représentent 90 % de la population, descendent en masse dans les rues pour célébrer cette fête qui marque la fin de l’année scolaire et le début des vacances d’été. A l’arrière des pick­up qui sillonnent les villes, des dizaines de jeunes en longyi – le sarong traditionnel-, dansent au son des derniers tubes occidentaux et birmans.

Dans ce pays où près de 45 % de la population a moins de 25 ans, l’ambiance s’apparente à celle des soirées à Ibiza. Une analogie qu’apprécierait peu le nouveau gouvernement, mis en place en avril dernier: celui-ci a exhorté les fêtards à« respecter la tradition». Comprendre: porter des vêtements «décents» et réduire la consommation d’alcool. Au dernier jour des festivités et jour officiel du Nouvel An, la musique cesse. En bordure des lacs, les Birmans relâchent des poissons pour améliorer leur karma, se rendent à la pagode pour déposer des offrandes, partagent le repas en famille et prennent de bonnes résolutions pour l’année à venir.

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« Ce n’est que le début!», annonce Alix Gauthier, cofondatrice de Copines de Voyage, une agence spécialisée dans les voyages à destination des femmes qui veulent voyager mais qui n’ont personne pour les accompagner. «Plus la communauté grandit, plus nos membres sont prescripteurs et plus les réservations affluent », précise Alix Gauthier. Avec sa communauté forte de 220 000 membres et en proposant des produits toujours plus insolites, comme un stage de survie en Amazonie avec un ancien militaire, Copines de Voyage se démarque clairement de la concurrence.

Mi-agence, mi-réseau social

Si la production orientée fun de Copines de Voyage séduit-la start­up a lancé la marque mixte Petits trip entre amis, destinée aux trentenaires, pendant l’été- d’autres s’intéressent à des solos en particulier : les célibataires (qui, selon l’lnsee, étaient 18 millions en France en 2016). «Cpournous a 15 ans d’existence», explique Gilles-Marie Stauff, co-fondateur de l’agence, qui propose des voyages pour ces derniers. « Au début, il a fallu déringardiser le concept. Des couples se forment pendant nos voyages, mais ce n’est pas la promesse de l’agence.

On offre des produits packagés qui favorisent la convivialité. Notre communauté compte 180.000 membres, soit le nombre de clients partis avec nous depuis 15 ans. »

Allier réseaux sociaux et produits touristiques, la formule gagnante? Dès 2012, Sarah Lopez et Aude Parlebas, fondatrices des · Covoyageurs.com, donnent une dimension communautaire à leur agence spécialisée dans les voyages d’aventure pour les solos. « On a développé un réseau social qui permet de voir qui est intéressé par un voyage ou qui a réservé», précise Sarah Lopez. Aujourd’hui, les Covoyageurs se retrouvent pour des randonnées en Albanie ou des circuits en Ouzbékistan. «On a lancé une formule monoparentale ou encore Papys&Kids pour les vacances avec les grands-parents. On essaie d’être précurseur. »

Et les agences traditionnelles ?

Rares sont les agences traditionnelles à investir le créneau. Les voyagistes TUI et Jet tours programment des séjours pour solos ou familles monoparentales, dans des clubs qui peuvent être dédiés. Les Villages Clubs du Soleil ajustent pour leur part leurs prix aux parents voyageant seuls avec un enfant ou plus. Des opérateurs non-traditionnels tentent aussi leur chance, sur la pointe des pieds. Meetic organise par exemple ses propres voyages depuis 2016. Mais le célèbre site de rencontres se contente d’une poignée de départs sur l’ensemble de l’année. Le marché du voyage en solo n’est pas si facile. Certains y ont déjà lais­sé des plumes, comme l’agence fran­çaise Opensworld, créée en 2013 et radiée au mois de juin dernier…

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Voyager tout en faisant une bonne action au profit d'associations. Vous en rêviez, ils l'ont fait! On vous présente Solikend.

Solikend est un nouveau site web qui propose une offre solidaire étonnante : réserver des nuits dans une sélection d’hôtels de rêve dont le montant est 100% reversé au profit d’associations.
Surprenant ? Ce concept solidaire inédit, soutenu par la région Nouvelle-Aquitaine dans le cadre du dispositif Tourisme Innovant, a été imaginé et conçu par une jeune équipe basée à Biarritz.

Le principe : des hôteliers aux valeurs citoyennes se mobilisent en offrant gracieusement des nuitées pour la solidarité. Pour en profiter, vous réalisez une réservation dont le paiement est intégralement reversé à l’association de votre choix.

Ainsi, 7 établissements de la région dont Les Baigneuses à Biarritz, La Villa Seren à Hossegor ou bien encore Le Boutique Hôtel à Bordeaux se lancent dans l’aventure pour apporter leur aide à 3 associations hautes en valeurs : La Croix Rouge, Life is Rose et du Flocon à la Vague. Pour ces hôteliers, il s’agit de mettre en place une démarche solidaire dans un cadre RSE, tout en bénéficiant d’un intérêt promotionnel sur l’opération et d’une valorisation de leur image de marque.

Intéressé ? Rendez-vous sur www.solikend.com pour découvrir les 7 hôtels participants, et réservez vos premières nuits solidaires entre le 24 janvier et le 15 mai 2018 !