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Totec 2014

Cet article est la suite du résumé de la matinée au Totec 2014 publié également sur ce blog.

Durant le déjeuner, Memotrips a l’occasion de tester le casque de réalité virtuelle « occulus » racheté récemment pour Facebook. Dans le monde du tourisme, Amadeus nous explique que le but de cet équipement est de faire revenir les voyageurs dans les agences de voyage en leur proposant de s’immerger dans l’hôtel qu’ils sont sur le point de réserver ou dans l’avion pour lequel ils hésitent entre la classe économique et la première classe. L’idée est excellente mais le rendu visuel une fois le casque enfilé n’est pas si époustouflante que ce qui a été dit dans la presse. C’est un bon début et il faudra attendre les versions suivantes pour voir arriver la possibilité de se déplacer dans cet espace virtuel. Memotrips croise l’incubateur de startups orientés tourisme Welcome City Lab et Simpki, le moteur de recherche de solution de transport et d’hébergement qui s’adapte à votre budget .

Déjeuner Totec 2014

On reprend pour une après midi de conférences en commençant avec Sophie Virapin qui s’occupe du développement durable Air France. On apprend que plusieurs initiatives voient le jour par l’intermédiaire du Lab’in d’Air France, dont un vol par semaine reliant Paris à Toulouse, propulsé par du bio carburant.

Place à Laurent Verbiguié, responsable de la direction des opérations de l’aéroport de Toulouse-Blagnac (5ème aéroport de France). Il caractérise le parcours d’un voyageur comme un véritable casse tête chinois (on notera la référence à l’actualité récente de cession des parts de l’aéroport à deux fonds d’investissement chinois) : imprimer son étiquette bagage et carte d’accès à bord chez soi, se rendre à l’aéroport, passer la sécurité, déposer mon bagage, présenter sa carte de fidélité, présenter son passeport, etc… Pour le moment, l’aéroport est vu comme une contrainte par le voyageur. L’objectif est de modifier cette vision (horizon 2025) :

  • aéroport tout numérique : temps d’attente à la sécurité (comme chez Disneyland) dès le parking, des murs d’image, relation multi canal pour améliorer la visibilité des prestataires autre que la compagnie de vol.
  • aéroport en mobilité : facilité le déplacement dans l’aéroport jusqu’aux portes de l’avion grâce par exemple à la géolocalisation indoor. Le wifi doit être gratuit dans les aéroports. A bons entendeurs …
  • aéroport du big data : des capteurs collectent toujours plus d’informations pour des raisons de sécurité, d’optimisation, de prévisions de flux, etc.
  • aéroport self service : étiquette bagage à faire au domicile, tag permanent par une puce sur le bagage, passage automatique sur les différentes zones, guidage dans l’aéroport par robot, etc.

Pourquoi un aéroport n’innove pas plus vite ? Pour des raisons de sûreté aérienne et de contexte international. La gestion des bagages est considérée aujourd’hui comme archaïque.

Après une vidéo comique (pourquoi l’accent québécois nous fait tant rire ?), place au débat sur la sécurité dans le transport aérien. Sans surprise, le basculement de la menace est arrivée le 11 septembre 2001 avec l’utilisation d’un avion comme arme de destruction massive. Cette problématique de la sécurité complexifie grandement un aéroport et augmente par conséquent le coût des aéroports (et donc le billet d’avion). Pour la DGAC, il n’y a pas eu d’attentats depuis le 11 septembre. Le vol de Malaysian Airlines n’est pour le moment pas considéré comme un attentat.
Le souhait de l’aéroport tout numérique doit être corrélé à une forte sécurité. Un exemple qui remonte à une dizaine d’année à Charles de Gaulle décrit un pirate qui a réussi à éteindre les rampes d’atterrissage des avions sur les pistes. Mais il ne faut pas oublier que l’humain amène toujours une couche d’intelligence supplémentaire. Les normes de sécurité sont les mêmes dans l’ensemble des aéroports européens. Il faut également être conscient que les mécanismes de sécurité ne sont pas uniquement les mécanismes visibles. Il y a également des mécanismes invisibles des voyageurs. Petite frayeur lorsqu’un ancien pilote nous indique qu’il a vu certains aéroports (par exemple en Mauritanie) sans aucune norme de sûreté (aucune vérification de papiers ni de bagages) ou des aéroports dans lesquelles vous passez votre bagage dans un rayon X … sans qu’aucune personne ne soit présent derrière l’écran.
L’autre risque est le risque épidémiologique, mise en avant depuis Ebola. On constate quand même que les aéroports se sont rapidement adaptés avec la mise en place des contrôles de températures pour les passagers en provenance des zones épidémiques.

Débat sur la sécurité aérienne

Place aux questions avec la mise en avant du délais pour avoir la liste des occupants d’un avion suite à un crash. La raison est la protection des proches des victimes qui sont avertis avant la diffusion de la liste auprès des médias. Question suivante sur l’efficacité de la sécurité dans les aéroports (il faudrait savoir quoi chercher), le profilage des passagers et les journalistes qui ont réussis à passer des armes en vue de la réalisation de documentaires. Il faut rappeler aussi que les passagers qui voyagent dans l’espace Shengen ne se voient plus forcément demander de pièce d’identité. Une question interessante est posée au directeur des opérations de Toulouse : quid des objets confisqués à la sécurité ? Pourquoi ne pas proposer un service de renvoi au domicile du voyageur ? Il n’y a pas de solution pour le moment, sauf au Canada où il existe des consignes pour stocker ses objets jusqu’à son retour. Il est temps d’aller prendre un café … une question sur les ovnis avec la réponse de la DGAC qui nous indique que personne ne s’en occupe. Le contrôle des passagers coute 800 millions d’euros par an. Fin du débat, avec une comparaison entre la sécurité dans les avions VS (l’absence de) la sécurité dans des trains ou des métros : la raison est l’impact économique, symbolique et médiatique d’une attaque terroriste aérienne.

On termine la journée avec Erez Bousso, CEO de Travelyo, qui propose aux voyageurs de depackager le classique package statique vol+hotel. Les clients sont de plus en plus connaisseurs car ils ont d’avantage accès à l’information. La part du package dynamique atteint 54 % des ventes. Cette part varie énormément en fonction de la saisonnalité : cette part de package dynamique est au plus bas en juillet/aout alors que cette part est de 70% en fin d’année. Tavelyo aide le client dans sa décision de construire son propre package ou d’acheter un package statique.

Memotrips tient à remercier les organisateurs du Totec 2014. Cette journée a été pour Memotrips une source d’inspiration et quelques contacts intéressants. Rendez-vous l’année prochaine !
Retrouvez les photos du Totec 2014 ici.

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Totec 2014

Memotrips était présent au Totec 2014, la conférence sur le tourisme et les nouvelles technologies qui met cette année le focus sur transport aérien avec le slogan « Sky is the limit ».
Retour sur cette journée riche en conférences et en rencontres qui s’est déroulé le 11 décembre 2014 au Pavillon Cambon.

Après un petit déjeuner, la journée a commencé par un discours d’introduction de Georges Rudas, PDG d’Amadeus, leader mondial en technologie du tourisme. Amadeus équipe 130 compagnies aériennes (Air France, British Airways, Luftsansa, ou plus récemment Southwest Airlines).

Ouverture du Totec 2014

Georges Rudas, PDG d’Amadeus

Parmi ces domaines d’activité, Amadeus est arrivé à l’aéroport et développe une nouvelle activité dans ce sens : « Airport IT ». L’objectif est d’inventer ni plus ni moins que l’aéroport du futur pour simplifier la vie du voyageur (optimiser par exemple le temps d’embarquement, les correspondances, le séquencement et positionnement des avions en fonction de la pertinence). Grâce à un récent rachat, Amadeus a déjà de sérieuses références dans les aéroport comme Dubai, Singapour, etc.

Le micro est ensuite passé à Guillaume Poulain, rédacteur en chef chez TOM. Plusieurs thèmes sont survolés :

  • les objets connectés (prévision : 26 milliards d’objets connectés en 2020)
  • les villes connectés (ça doit être aux villes de s’adapter aux hommes et pas l’inverse)
  • iBeacon d’Apple et Proximity de Samsung (33% des aéroports envisagent de développer cette technologie l’année prochaine)
  • l’aviation propulsait par l’énergie solaire avec Solar Impulse 2
  • le tourisme spatial et la construction d’un spacesport en Angleterre prévue en 2018. Alternative un ascenseur pour 2040/2050 ?

Pour rester dans une vision futuriste, la parole est donnée à Guillaume Victor-Thomas, associé chez Terrafugia qui développe une voiture volante. La projection du film fait rêver en présentant une voiture nommé TFX qui roule, qui décolle à la verticale et qui vole jusqu’à 200 mph. Face à ses concurrents, Terrafugia a une longue d’avance puisqu’une toute première version nommé « transition » sera disponible fin 2015.

Patrick Xavier (Iata), Vincent Piarou (Samsung) et Thomas Coustenoble (IBM) se succèdent ensuite pour présenter leurs sociétés,

Nous passons suite à Christian Delome d’Atout France, l’agence de développement touristique de la France. Les pendules sont remises à l’heure : « moi, je n’ai rien à vendre … on ne voyage pas pour prendre l’avionou pour être dans un hôtel. On voyage car on n’a envie de passer des moments dans un autre endroit que celui qu’on connait ». Un focus est mis sur l’émergence des compagnies aériennes de l’Asie Pacifique VS le déclin des compagnies européennes et d’Amérique du Nord.

Christian Delome d'Atout France

Christian Delome d’Atout France

La première ligne internationale est une destination touristique. Les compagnies aériennes les plus profitables sont à l’est de la carte du monde.

Nous redescendons ensuite sur Terre avec Bertrand Altamyer, le cofondateur de Marcel, un service de VTC, « le chauffeur de toutes vos envies » pour un Quickvision en 7 min. Marcel se présente comme l’application du revenu management de l’aérien au transport urbain. Comme Uber, Marcel profite d’une dérégulation du transport urbain et de la démocratisation du smartphone pour utiliser de la technologie. Le cofondateur prend l’exemple des hommes d’affaires qui partent à l’aéroport le lundi matin. Une fois à l’aéroport, les chauffeurs n’ont pas de client pour retourner à Paris. Le revenu management vise à faire baisser les prix sur les trajets aéroports/Paris le lundi matin pour atteindre des voyageurs qui utilisaient jusqu’à maintenant les moyens plus économiques comme le RER ou le bus.

Sans transition, nous passons du VTC à la publicité online avec Daniel Beccari (Criteo) qui nous explique que le tunnel de conversion n’est pas linéaire dans le tourisme. Une même personne peut revenir plusieurs fois par des canaux différents lors de leur préparation du voyage : pc, tablette, smartphone etc. Criteo stocke l’équivalent de 20 Wikipedias chaque jour de données sur les clients. Ces données permettent de cibler la publicité adressée en fonction du comportement et des données récoltées. A ce titre, 1000 décisions sont prises chaque seconde pour afficher la publicité la plus pertinente. Trois axes sont importants d’après Criteo dans la publicité display (qui est passé devant le Search en terme d’investissement) :

  • Contrôle sur les informations personnelles utilisées pour faire de la publicité personnalisé
  • Bug data afin de comprendre ce que veut le visiteur et quel est son budget (sans lui demander bien sûr!) grâce aux traces laissés lors de ses différentes visites . Les clients de Criteo achètent donc la publicité en fonction du profil de l’utilisateur et de ce qu’ils sont prêts à dépenser.
  • Personnalisation en temps réel des bannières grâce à la génération de la publicité à la volée … en 6 ms.

Le prochain canal sur lequel Criteo souhaite annoncer est la vidéo, mais le génération automatisée de vidéo en un temps acceptable (quelques millisecondes) n’est techniquement pas encore possible. Plus tard, l’ambition de Criteo est de proposer un moteur qui va permettre de connaitre le canal de communication optimal pour chaque individu.

L’innovation est partout … jusque dans les bagages. Catherine de Bleeker, de la societée Delsey, nous le prouve grâce au bagage nommé « pluggage », un bagage en cours de conception mais présenté depuis deux semaines sur le site internet dédié : http://www.delseypluggage.com/fr

Delsey a mis en place sur ce site un système de votes permettant à chacun de voter pour les fonctionnalités proposées parmi celles-ci :

  • Autopesage du bagage permettant de savoir si la barre des 23 kg est dépassée
  • L’ouverture avec le doigt par son téléphone
  • Savoir si quelqu’un à ouvert le bagage pendant le transport
  • S’assurer via son smartphone que le bagage est dans l’avion
  • Chargeur pour smartphone.
Bagage pluggage

Catherine de Bleeker, Delsey

Quid du brouillage dans les aéroports et la diffusion par le bagage d’un signal dans la soute des avions ? Des problèmes sont encore à résoudre, par exemple un passager qui ne souhaiterait pas embarquer sachant que son bagage n’a pas été chargé dans l’avion.

Alexis Kenda, CMO de Reminiz, vient ensuite nous présenter leur application de reconnaissance faciale. C’est le Shazam des visages où les utilisations dans le monde du tourisme sont encore à trouver, comme par exemple la localisation d’un passager manquant à l’embarquement dans l’aéroport.

PXCom est une société dirigé par Cyril Jean qui développe un système de divertissement en avion. On apprend qu’un sitback (écran/tablette disponible sur les longs courriers uniquement coute en moyenne 5000 $ par siège. L’avenir est aux lunettes, à la diffusion d’odeurs ou à la luminothérapie. On apprend au passage que 100 milliards de passagers ont été transportés par avion ces 100 dernières années … et que l’estimation de passagers transportés les 20 prochaines années est également de 100 milliards. Vertigineux !

Nicolas Jousse, de Technicon Design, nous présente, via une vidéo, l’avion de demain : il sera sans hublot, l’ensemble de l’intérieur de l’avion sera un écran géant. Il sera donc possible d’afficher ce qui se passe dehors (comme si l’ensemble de l’avion serait en verre), ou customiser en lançant une confcall, ou une ambiance zen. Ce concept serait déclinable dans les trains, les hôtels, le nautisme, etc.

IXION Windowless Jet Concept from Technicon Design – France on Vimeo.

Place à François Chopard, CEO de Starbust Accelerator, un accélérateur de startup spécialisé dans l’aérien où startups et grands groupes se rencontrent et innovent ensemble.

Parmi les 14 startups qui présente leur business en une minute chrono, cinq ont retenus l’attention de Memotrips :

Citylocker propose une consigne sécurisée en ville. On réserve en ligne à l’avance pour recevoir ses accès par email. Cela permet de déposer ses bagages aux coeurs des villes et de profiter de la ville en toute tranquillité. Le service est déjà mis en place à Paris. Par rapport à une consigne en gare, l’avantage est que citylocker ne fait pas payer à chaque ouverture de votre consigne.

Goodspot met en relation des locaux et des voyageurs pour vivre des expériences originales et authentiques. Déjà 50 pays couverts.

Option Way permet aux voyageurs de profiter des fluctuations des prix d’un billet d’avion. Comme en bourse, le voyageur renseigne un ordre d’achat en indiquant un budget et la destination de son vol. Option way achète automatiquement le billet dès que celui ci est proposé au prix demandé.

Travel Wifi
qui loue aux étrangers un boitier qui fournit de la 4G illimitée et partageable jusqu’à 10 utilisateurs. Idéal pour créer son carnet de voyage Memotrips même si son forfait de téléphone n’inclut pas la data à l’étranger.

Enfin, Tripndrive propose de laisser sa voiture à l’aéroport afin d’être disponible pour un voyageur souhaitant l’utiliser pendant son séjour. Le service équipe déjà 7 aéroports et 1 gare.

Place au déjeuner offert par Sixt, élu récemment meilleur loueur de voiture au monde grâce à la technologie déployée autour de leur business : site web, application, voitures connectés, guichets virtuels, etc.

Le résumé de la suite de cette journée est disponible dans la seconde partie.

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Nous sommes deux jeunes hommes de 21 et 22 ans animés par un esprit d’aventure. Adeptes de défis en tout genre, nous nous sommes par exemple donnés pour objectif de rallier Nantes à Vienne en Autriche pour le nouvel an en 24h et en stop, traverser en totale autonomie le désert islandais,…(voir vidéo ci après: http://vimeo.com/109909974), Notre prochain objectif: gravir un pic Pyrénéen de plus de 3000m pour y passer le nouvel an.

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Nous aimons le rapport brut à la nature, à l’effort et au dépassement de soi. On aime ces difficultés car dans des moments parfois âpres, toute votre existence se resserre autour des besoins fondamentaux: boire, manger, avancer. Pas de rendez vous. Pas d’impératifs. L’aventure décape l’esprit, elle épaissit l’instant, elle le fouette et le re-fouette jusqu’à le faire mousser en souvenirs impérissables.

Plus beaux souvenirs :
– Un cigare dégusté en Islande sous un ciel enfin bleu, ébouriffé d’air pur
– Un voyage dans un camion de roumain, casé entre les fils électriques

Page Facebook : https://www.facebook.com/deuxaventuriers/
Blog : http://deuxaventuriers.wordpress.com/
Twitter : https://twitter.com/sylvain_kevin

L’équipe Memotrips travaille dur pour sortir au plus vite l’application Android qui vous permettra d’emporter, consulter et compléter vos carnets de voyage avec votre smartphone. Après plusieurs mois de développement, nous commençons à avoir une application qui ressemble à quelque chose. Les tests ont commencé il y a quelques semaines, mais le premier test « grandeur nature » aura lieu à partir de demain. Nous profitons d’un voyage à New York pour tester l’application.

Application Memotrips à New York

Application Memotrips à New York

L’application est ultra intuitive. Vous en saurez plus au moment de la sortie de l’application (prévue début 2015) mais sachez que l’idée est d’ajouter des étapes en y indiquant un titre, une description et quelques photos (la géolocalisation et la date sont automatiquement renseignées) à tout moment, même sans connexion Internet. Vous construisez ainsi votre carnet de voyage dans votre smartphone. Lorsqu’une connexion Internet est trouvée, l’application synchronise automatiquement vos étapes dans le cloud sécurisé de Memotrips. Votre famille et vos proches pourront alors consulter votre périple via le site web https://www.memotrips.com

Le carnet de voyage connecté utilisé pour ce test grandeur nature est Passer Thanksgiving & Black Friday à New York

Memotrips a lancé un sondage d’une dizaine de questions sur les usages des réseaux sociaux et des carnets de voyages durant vos escapades. Trois semaines de diffusion ont permis de récolter 115 réponses dont voici la répartition par âge :

  • 2% entre 12 et 20 ans
  • 64% entre 20 et 30 ans
  • 27% entre 30 et 40 ans
  • 2% entre 40 et 50 ans
  • 5% entre 50 et 60 ans

Passons maintenant à l’analyse des résultats :

Habitude de voyage & carnet de voyage
Le sondage a attiré une majorité de voyageurs puisque vous êtes quasiment la moitié des répondants à partir entre une et deux fois en voyage chaque année. Un tiers d’entre vous partez 3 à 4 fois par an. Il est intéressant de noter que les 20/30 ans sont les plus chanceux puisque ce sont eux qui partent le plus souvent.

Répartition des classes d'âge des répondants

Nous sommes bien loin de la moyenne nationale : http://www.entreprises.gouv.fr/files/files/directions_services/etudes-et-statistiques/etudes/tourisme/2013-4pages-27-SDT.pdf).

Vous êtes 30% à tenir un carnet de voyage (papier ou fichier Excel) pendant votre voyage (à noter que 5% se lancent dans la rédaction de leur carnet de voyage après leur retour).

Le partage sur les réseaux sociaux pendant votre voyage
Vous êtes 75% à avoir pris l’habitude de partager des photos, des checkins ou des statuts sur les réseaux sociaux. Parmi les réseaux sociaux utilisés, sans surprise, Facebook est utilisé par 95% d’entre vous, puis Instagram (14%), Twitter avec 8%, et enfin Google+ par 6% des répondants.
L’étude nous apprend également que vous partagez peu de photos de votre voyage sur les réseaux sociaux puisque vous êtes 45% à partager moins de dix photos.

Si vous partagez des photos sur les réseaux sociaux, combien de photos de votre voyage publiez-vous ?

Vos carnets de voyage par Memotrips
L’étude nous confirme qu’il y a une réelle attente du public vis à vis d’une application mobile permettant de créer et de partager son carnet de voyage via son smartphone, puisque 75% des répondants attendent ce type d’application. Autre point positif pour le projet Memotrips qui souhaite favoriser le partage d’expérience par la publication des carnets de voyage : 70% des voyageurs sont prêts à rendre publique une partie de leurs carnets de voyage pour qu’ils servent de référence aux prochains voyageurs.
Enfin, nous apprenons que 27% des répondants seraient prêts à payer pour stocker leurs photos de voyage de manière sécurisée.

En conclusion
A l’origine, Memotrips est né d’un besoin personnel, qui n’est finalement pas si personnel que cela. Cette étude nous montre une nouvelle fois qu’il manque un outil capable de centraliser l’ensemble de ses souvenirs de voyage (photos, localisations, impressions, etc.) au sein d’un carnet de voyage qui serait accessible par la famille et les proches du voyageur.
Memotrips a l’ambition de proposer ce type de service : venez le tester dès maintenant : http://www.memotrips.com ou en découvrant les premiers carnets de voyage disponibles :

Week end à Majorque – partagé par josephdurand
Camping et randonnées dans les gorges du Verdon – partagé par aurelienca
Road trip en Californie & Nevada – partagé par aurelienca

Cette version bêta n’est qu’une première version, ce qui explique que la création des carnets de voyage n’est pour le moment disponible que sur demande : inscription ici. Les applications Android et iPhone qui vous permettront d’emmener vos carnets de voyage partout avec vous, devraient arriver dans quelques semaines … encore un peu de patience.

Présentation Memotrips.com

Memotrips est une application mobile permettant d’enregistrer chaque étape de votre voyage (activités, hébergement, trajets, restaurants, etc…) en y attachant une description, une impression, des photos. Faites profitez vos amis en partager vos notes avec eux.

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Le soleil ne nous ayant pas beaucoup fait l’honneur de sa présence cet été en France, c’est à l’étranger que j’ai dû partir le chercher pour passer mes vacances. Et cette année, j’ai testé un mode de vacances différent : la Croisière. Si cette formule de voyage très populaire outre-Atlantique reste encore relativement confidentielle en France, elle a cependant le vent en poupe. Avec plus de 500 000 croisiéristes Français en 2013, c’est l’un des rares secteurs du tourisme dont le taux de croissance frôle encore les deux chiffres. Si l’engouement des Français pour ce mode de voyage est de plus en plus important, l’image des croisières souffre encore de nombreux clichés. Retour sur un mode de voyage différent.

La croisière façe à ses clichés

 -Une offre réservée à une clientèle âgée

Lorsque l’on parle de paquebots de croisières, beaucoup s’imaginent d’immenses maisons de retraite flottantes! En RCCL Surf-SEOs’intéressant de plus près à ces bateaux, on constate qu’il n’en est rien. Qui pourrait imaginer que les équipements des paquebots modernes soient réservés à une clientèle âgée ? La compagnie américaine Royal Carribean prendra livraison dans quelques mois de son nouveau fleuron : le Quantum of the Seas, un bateau équipé d’un simulateur de chute libre, d’auto tamponneuse ou encore d’une piste de roller. Le dernier né de l’italien MSC, le Preziosa fraîchement sorti des chantiers français de St Nazaire dispose lui d’une piscine à débordement et d’un tobbogan aquatique de 120m. Plusieurs paquebots de son concurrent italien Costa disposent eux d’un simulateur de formule 1 et de cinémas 4D. Enfin il est courant de trouver à bord des géants des mers, des patinoires, murs d’escalade, centres aquatiques géants et boites de nuits. Une offre d’activité donc bien destinée aux jeunes et aux familles. L’âge moyen du passager est d’ailleurs passé de 65 ans il y a une dizaine d’année à moins de 40 ans aujourd’hui.

RCCL Auto-SEO

 -Un produit très cher

Si la croisière a longtemps été un produit haut de gamme réservé à une clientèle fortunée, les prix ont chuté ces dernières années. De nombreux acteurs proposent désormais des croisières d’une semaine pour moins de 400€ au départ de la France, entrant directement en concurrence avec des séjours premiers prix en clubs de vacances. Cette baisse extrême des prix constatée ces dernières années peut s’expliquer par une concurrence de plus en plus importante et l’augmentation de la taille des bateaux qui permet de réduire les coûts de manière drastique. De l’autre côté de la gamme, des séjours grands luxes très onéreux répondent à la demande des plus exigeants et des plus aisés. Entre les deux, l’offre est très importante et il est possible pour chacun de trouver un produit répondant à ses attentes en termes de prix et de prestations.

Théatre du MSC Preziosa

Théatre du MSC Preziosa

-On s’ennuie à bord

NCLEn plus des nombreux équipements cités plus haut, les paquebots disposent tous de plusieurs restaurants, de bars, de théâtres, de salles de jeux et de sports ou encore de boutiques et bibliothèques… Difficile de s’ennuyer à bord. Il ne faut de plus pas oublier que les paquebots naviguent surtout la nuit et qu’ils font escales à terre presque tous les jours. N’avez-vous jamais rêvé de vous réveiller chaque jour dans une ville différente? Ces escales permettent d’atteindre les plus beaux endroits du monde en ne se souciant de rien d’autre que de la découverte de ceux-ci. Enfin, ceux qui craignent l’ambiance « club de vacances » peuvent partir rassurés, les animations et les « règles de vie » sur les bateaux sont bien différentes. Les espaces intimistes à bord sont nombreux et on peut facilement se retrouver à deux ou en famille, ou encore choisir de partir en excursion individuelle pendant les escales.

simulateur de formule 1 -  Costa

simulateur de formule 1 – Costa

Convaincu ? Il ne vous reste alors plus qu’à tester par vous même pour découvrir ce formidable moyen de voyager. Je n’attends plus maintenant que de découvrir vos carnets Memotrips racontant vos pérégrinations maritimes… Alors, tous à bord !

Queen Mary 2

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Zaptravel offre une nouvelle expérience de recherche pour les voyageurs. Plutôt que de définir l'habituel triplet (où, quand, à quel prix) via des champs de saisie, Zaptravel offre un moteur de recherche de voyages beaucoup plus humain, basé sur la sémantique.

zaptravel

La frontière entre l’agence de voyage physique et Internet s’erode encore un peu plus puisque pour lancer une recherche, indiquez simplement votre souhait au site : par exemple « Je veux faire du ski au Canada » ou « Je veux aller dans une ville historique ». Pour le moment, vous devez toutefois exprimer votre demande en anglais.

Les résultats illustrés s’affichent sur une carte du monde avec les meilleurs tarifs offerts par des agences de voyages en ligne (OTA). Dans les résultats affichés, il est possible d’affiner la période, l’expérience recherchée, le budget, le standing, etc.

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Si le concept évoqué dans cet article s’adresse principalement à des touristes étrangers visitant la France, il pourrait cependant intéresser toute personne ne disposant pas de smartphone et devant rester connectée en France pendant ses vacances et déplacements professionnels.

Travel Wifi propose une solution intéressante pour rester connecté partout en France pendant ses déplacements personnels ou professionnels. Après une rapide réservation en ligne, vous vous faites livrer un petit domino 4G directement chez vous, à votre hôtel ou même directement à l’aéroport. Il ne reste plus qu’à connecter vos différents périphériques (jusqu’à 10 en même temps) sur le domino en wifi. Les smartphones, tablettes et ordinateurs de la famille ou des collègues pourront donc s’appairer très simplement au domino pour rester connectés comme à la maison. En zone de couverture 4G les débits sont très rapides, ils peuvent cependant rapidement chuter lorsque la couverture réseau (assurée par Bouygues Telecom) n’est pas optimale. Avec des tarifs relativement élevés (de 15€ par jour pour une location de 2 jours à 6€ par jour pour une location de 50 jours), l’offre de Travel Wifi se limitera donc à du dépannage ponctuel. Il convient tout de même de noter que contrairement aux offres proposées par les opérateurs, la solution de Travel Wifi est réellement illimitée, vous pourrez donc sans problème regarder un film en VOD ou créer sans limite des carnets de voyages Memotrips !!! On rêverait d’une solution similaire fonctionnelle dans le monde entier, Travel Wifi si vous me lisez…

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A la manière de Foursquare ou TripAdvisor, la nouvelle fonction "Explore" de la célèbre application Google Maps pour iOS et Android vous propose des recommandations de lieux et d'activités contextualisés.

Si la fonction première de Google Maps est de vous aider à trouver votre route, l’application n’en finit pas d’être mise à jour et de proposer de nouvelles fonctions. La dernière en date, « Explore », un moteur de suggestion intelligent qui vous propose de découvrir Explore-SEO 3des points d’intérêts autour de vous ou autour du lieu recherché. Pour activer la fonction, rien n’est plus simple, il suffit de cliquer sur la nouvelle petite icône qui s’affiche en bas à droite de l’écran de votre smartphone lorsque Google a des suggestions de lieux à vous faire. Vous pourrez ensuite filtrer les résultats en fonction de leur éloignement à pied ou en voiture ou encore les lister en fonction des moments de la journée. A la manière de l’assistant personnel Google Now, Explore se veut intelligent, ainsi, à midi ou à 20h, l’application mettra en avant des restaurants, alors qu’elle privilégiera des bars ou boites de nuit à 23h, de la même manière Explore vous indiquera les cinémas à proximité par temps de pluie alors qu’il vous recommandera les parcs et jardins par grand soleil. Enfin, comme toujours, Google promet que les résultats s’affineront et se montreront plus pertinents si vous acceptez de lui confier vos historiques et données personnelles. Enfin, Google Plus vient renforcer l’intérêt de l’application en proposant des notes et avis sur les différents lieux.

Explore-SEO 2

Pour conclure, cette fonction se montrera très pratique en vacances ou dans une ville inconnue. Cependant, pour une utilisation optimale, il faudra accepter de confier (encore) toutes ses informations personnelles à Google. On ne pourra pas non plus vraiment se fier à la base de données d’avis de Google Plus bien moins riche que celle de TripAdvisor…

Dans le monde des objets connectés, la famille ne cesse de s’agrandir ! Une aubaine pour le Travel. Aujourd’hui, présentation de Tile : un marqueur connecté qui va vous permettre de ne plus jamais perdre vos clés, vos bagages ou même votre enfant (ça arrive).

A peine plus grand qu’un porte-clés (il s’agirait de ne pas le perdre), le marqueur Tile fonctionne avec une application iPhone. Le principe est simple : il suffit de fixer le marqueur sur n’importe quel objet et vous pourrez ainsi le suivre à la trace. Pour les plus têtes en l’air, Tile pourra être utilisé jusque pour retrouver leurs clés. Dans le monde du Tourisme, l’utilité est bien plus grande : il arrive que les bagages se trompent d’avion, avec Tile au moins, vous saurez où ils sont (même si vous ne les récupérez jamais). Les marqueurs fonctionnent pendant un an sans recharge. Après cela, il faudra débourser 25 euros pour en racheter un. Ils sont équipés d’un speaker et produisent une alerte sonore à l’approche du propriétaire de l’objet. Autre fonctionnalité : Tile est un marqueur partageable. Ainsi, vous pouvez partager les informations de localisation de certains objets avec vos amis ou votre famille.