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Dans le monde des objets connectés, la famille ne cesse de s’agrandir ! Une aubaine pour le Travel. Aujourd’hui, présentation de Tile : un marqueur connecté qui va vous permettre de ne plus jamais perdre vos clés, vos bagages ou même votre enfant (ça arrive).

A peine plus grand qu’un porte-clés (il s’agirait de ne pas le perdre), le marqueur Tile fonctionne avec une application iPhone. Le principe est simple : il suffit de fixer le marqueur sur n’importe quel objet et vous pourrez ainsi le suivre à la trace. Pour les plus têtes en l’air, Tile pourra être utilisé jusque pour retrouver leurs clés. Dans le monde du Tourisme, l’utilité est bien plus grande : il arrive que les bagages se trompent d’avion, avec Tile au moins, vous saurez où ils sont (même si vous ne les récupérez jamais). Les marqueurs fonctionnent pendant un an sans recharge. Après cela, il faudra débourser 25 euros pour en racheter un. Ils sont équipés d’un speaker et produisent une alerte sonore à l’approche du propriétaire de l’objet. Autre fonctionnalité : Tile est un marqueur partageable. Ainsi, vous pouvez partager les informations de localisation de certains objets avec vos amis ou votre famille.

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C’est bien connu, « les bons comptes font les bons amis ». Pour faciliter l’application de cet adage répandu, Jonathan Fallon et Guilebert de Dorlodot, belges tous les deux, ont mis au point une application qui permet de simplifier la gestion des comptes lorsqu’on est en groupe. Son petit nom : Tricount. Présentation.

Partir en vacances entre amis, le rêve devenu enfin réalité. Plus de parents, plus de couvre-feu ou de corvée de vaisselle, la liberté avec un grand L. Mais lorsque l’on part en groupe, certaines choses (pourtant simples à la base) se compliquent. Qui a payé l’essence ? Et le péage ? Et comment fait-on pour diviser les courses ? L’application Tricount met fin à ces petites interrogations et gratuitement en plus. Le principe est simple : il suffit d’enregistrer les noms des participants, et de penser à lister les dépenses de chacun au fur et à mesure du voyage. (Pour y penser, il existe d’autres applications de pense-bête mais ce n’est pas le sujet). Tricount calcule automatiquement combien les participants se doivent entre eux, plutôt pratique. L’application peut être utilisée sur tablette, smartphone et même via Facebook. Et pour ceux qui ne parleraient pas français, pas de panique : Tricount est disponible en anglais, en néerlandais, en chinois et en portugais.

 

 

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twiztour_test

Samedi 21 juin, une date que l’on associe volontiers à l’été (enfin) ou à la fête de la musique. Pour moi, c’était le jour du test ! J’ai donc testé pour vous le Twiztour. Derrière ce petit nom se cache un parcours guidé avec GPS dans Paris, au volant d’une petite voiture électrique. Présentation et impressions.

Avant toute chose, il est nécessaire d’avoir le permis ou d’avoir des amis qui ont le permis. Et si vous n’avez pas le permis et que vous n’avez pas d’amis non plus, il n’y aura pas de twizy (la rime, c’est cadeau). Bref, les petites voitures électriques sont stationnées aux pieds de la Tour Eiffel, à côté des bateaux vedettes. Une fois sur place, il faut remplir un papier et une caution est à fournir : 800 euros. Oui c’est beaucoup mais une voiture, ça coûte cher ! Rassurez-vous, le montant n’est pas prélevé, la machine prend juste l’empreinte de votre carte bancaire. Les détails administratifs réglés, un petit cours rapide de conduite d’une voiture électrique s’impose.

La voiture électrique Twizy

Pour moi, c’était la première fois que je conduisais une voiture électrique. La Twizy a donc deux pédales (une pour le frein, une pour l’accélérateur), puisque c’est une boîte de vitesse automatique et pas de rétro central. Au début, c’est un peu déstabilisant (disons, les trois premières minutes) mais on s’y fait vite. La voiture est bi-place, mais petit inconvénient, le passager est derrière le conducteur. (Pour ce qui est de la description même du véhicule, je vous laisse apprécier la photo). Ah, et un avantage important à préciser tout de même, la Twizy est silencieuse. Par contre, si vous êtes fan de vitesse, ce n’est pas la peine d’essayer. La voiture a une vitesse maximale de 50 km/h. Non, on ne double pas en Twizy !

Le parcours guidé

Vous avez différents types de tours. Il peut durer une, deux ou trois heures et vous avez même la possibilité de le faire de nuit (le mardi et le samedi). Pour ma part, j’ai choisi de faire un tour d’une heure, appelé « L’incontournable ». Le GPS (installé par l’équipe Twiztour, pas besoin de ramener le sien, je précise) vous guide (c’est tout ce qu’on lui demande) à travers Paris en vous racontant de petites anecdotes sur les monuments que vous croisez. Je vous l’avoue, certaines histoires ne sont pas réellement passionnantes mais ont le mérite d’être instructives. Je suis donc partie de la Tour Eiffel, et le GPS m’a racontée l’arnaque du siècle, celle de Victor Lustig, « l’homme qui a vendu la Tour Eiffel ». Mais je vous laisse découvrir l’histoire ! Je suis passée par (dans le désordre) les Invalides, le Petit et le Grand Palais (Savez-vous les différencier ?  Je sais maintenant !) mais aussi les Champs-Elysées (Prendre le rond-point de l’Etoile en Twizy était épique, je vous le conseille).
A chaque monument, le GPS nous invite à nous arrêter pour prendre des photos et profiter pleinement des anecdotes. Et là, la Twizy offre un avantage de taille. Encore mieux que la Smart, garer la voiture électrique est un jeu d’enfant !

Une expérience originale

Faire un Twiztour est un peu cher, c’est vrai. Les tarifs vont de 25 à 75 euros selon la durée et le tour choisis. Cela dit, c’est un très bon moyen de visiter Paris, plus original que les bateaux mouches. Je vous conseille de l’essayer à trois conditions : si vous aimez conduire (ou alors si vous aimez vous faire conduire), si vous êtes curieux et si vous aimez Paris, évidemment. Ah, et je vous recommande de tester lorsqu’il fait beau, c’est tout de même plus agréable.

 

 

A l’occasion du concours Google Science Fair, Angelo Casimiro, jeune inventeur de 17 ans, a présenté Electricity Harvesting Footwear. Le dispositif permet de recharger son smartphone en marchant, une aubaine pour les voyageurs hyper-connectés. 

C’est un fait, l’Homme effectue quelques 7000 pas par jour (imaginez s’il se perd). Le jeune Angelo Casimiro a décidé de tirer profit de cet effort journalier en s’intéressant à la piézoélectricité. La piézo-quoi ? La piézoélectricité est la propriété de certains corps à se polariser électriquement sous l’action d’une contrainte mécanique. Vous allez comprendre : le dispositif Electricity Harvesting Footwear se présente sous la forme d’une semelle dotée de membranes piézoélectriques qui génèrent de l’électricité à chaque pas. Ainsi, l’énergie sera stockée dans une batterie connectée au smartphone. Et ce dernier ne vous lâchera plus au milieu de la visite du musée Dali à Barcelone ou au moment du célèbre selfie australien « Moi et un kangourou ».

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tripnco_appli voyage

En 2013, un tiers des Français déclarent ne pas sortir autant que souhaité par manque de « compagnons de sortie » disponibles. Partant de ce constat, le site internet Tripnco est né. L’appli voit le jour en avril 2014. Alors à quoi ça sert et comment ça marche ? 

L’application est dédiée aux loisirs et au voyage collaboratif. Le principe est simple : les utilisateurs vont pouvoir trouver des sorties et cerise sur le gâteau, des personnes avec qui partager cette activité.
En clair, vous êtes en vacances au Brésil et vous avez envie de faire un football (parce qu’en ce moment, c’est la mode) mais vos amis préfèrent rester devant la télévision et attendre que la France se décide à marquer. Vous entrez l’activité « football » dans l’application Tripnco et vous allez découvrir des plans proposés par des personnes qui ont la même envie que moi et entrer en contact avec toute une communauté.
Trouver des partenaires de foot ou de voyage, partager un guide pour une expo ou discuter d’un bon resto, il suffit juste d’avoir une envie.

Memotrips a eu l’occasion d’échanger avec Tripnco la semaine dernière dans le cadre du Startup Assembly. Les deux cofondateurs très sympas ont des idées plein la tête et une équipe pétillante : l’application n’en est encore qu’à ses débuts. De nombreuses nouveautés vont arriver au fur et à mesure des mises à jour.

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L’été approche à grands pas et les plus chanceux vont partir en vacances. Très loin ou moins loin, le but étant d’échapper quelques jours ou quelques semaines à la routine du quotidien. Appareil photo autour du cou, smartphone dans une main, guide du Routard dans l’autre, les voyageurs vont se fabriquer des souvenirs et constituer un carnet de voyage, véritable journal des expériences vécues. Du carnet de voyage papier au carnet en ligne, il n’y a qu’un pas : Memotrips.

Raconter ses visites, donner des détails sur les monuments ou encore commenter la prestation d’un hôtel sont des attitudes presque naturelles chez tout bon voyageur qui se respecte. Mais nous ne sommes que des êtres humains et il est clairement impossible de se souvenir de tous les noms des restaurants californiens qu’il ne faut absolument pas manquer ou les détails historiques de la Tour de Pise. Ainsi, il peut être utile de tenir un carnet de voyage. Au-delà de son aspect pratique, il permet de revivre ses vacances étape par étape les jours où la nostalgie est trop grande. Mais il est également indispensable pour partager ses expériences avec le plus grand nombre. Selon le voyageur, le carnet sera plus ou moins complet et détaillé. Certains préfèrent le papier et d’autres se tournent plus volontiers vers des applications comme Memotrips.

La version papier du carnet de voyage

Pour confectionner le meilleur carnet de voyage possible, il existe des carnets assez petits et pratiques mais le risque est toujours de manquer de place. Vous pourriez opter pour un cahier 24×32, 180 pages (à spirales parce que c’est plus beau), une boîte de crayons de couleurs (pour l’originalité), du scotch (pour les cartes de visites) et une bonne dose de patience. Une fois rentrés, le teint halé et les bras chargés, la problématique est toujours la même pour les voyageurs jet lagés : quelque 900 photos à trier, un carnet de voyage prêt à exploser et des souvenirs (un peu) en vrac.
Le carnet de voyage papier c’est bien mais cela demande de la motivation et un soupçon d’organisation. Si vous passez des heures à écrire pourquoi vous avez adoré la ville de Palerme en Sicile mais qu’au moment de raconter vos aventures, vous ne retrouvez pas la bonne page et vous peinez à retrouver la bonne photo (d’ailleurs, elles sont où les photos ? Encore sur l’appareil ou déjà sur l’ordi ?), vous allez vite vous rendre compte que votre audience (souvent la famille et les amis) préfère discuter du premier match de la Coupe du Monde. Oui, c’est dur à encaisser.

Le carnet de voyage en ligne

Vous êtes hyper-connecté, et pour vous les mots « twitter », « instagram », « pinterest » et « facebook » ne sont pas obscurs, vous avez 350 applications sur votre iPhone et vous avez mal à la main quand vous écrivez deux lignes, il semble plus sûr d’opter pour un carnet de voyage en ligne à l’aide d’applications comme Memotrips (La 351ème tant attendue). Photos, étapes, hôtels, restaurants, musées ou encore rue bizarre qui mérite qu’on la mentionne, toutes les informations relatives au voyage peuvent être ajoutées en temps réel avec l’application ou sur le site web. La fonction « suivre un voyageur » va permettre aux personnes qui le souhaitent de recevoir une notification dès que le voyageur mettra son carnet à jour. (Pour en savoir plus, c’est par ici)
Le petit plus d’un carnet de voyage en ligne : éviter les conflits familiaux ou amicaux d’ailleurs. Vous n’aurez plus qu’à glisser subtilement dans la conversation que votre carnet de voyage est très complet et surtout, consultable à tout moment.