Les uns partent en train alors que les autres partent en voiture ou en avion. Dans tous les cas, se rendre sur son lieu de vacances coûte très cher : c'est la plus grosse dépense durant les vacances.
Un aller/retour gratuit en TGV, c’est possible !
Commençons avec le train et les 24 millions de billets de train qui sont vendus chaque été par la SNCF. Prendre le train gratuitement, c’est possible. La contrepartie est simple : accompagner un ou plusieurs enfants durant le trajet du train. Prenons l’exemple des parents divorcés ayant une garde partagée et n’habitant par la même ville. Les parents mandatent une personne pour accompager leur(s) enfant(s) sur le trajet du train. En échange, les parents payent le billet aller/retour de l’accompagnateur. Les enfants voyagent en sécurité à moindre coût.
Deux sites référencent des parents et accompagnateurs utilisant ce service.
accompagnateurenfants.fr est un site web très simple et basique : pas d’inscription et consultation instantanée des annonces. A l’heure actuelle, 1.700 annonces sont disponibles gratuitement.
kidygo.fr va plus loin et se focalise sur la sécurité et la confiance. La plateforme vérifie chaque accompagnateur avant de les référencer sur la plateforme : vérifications administratives, vidéo et entretien téléphonique. Ce service à un coût pour les accompagnateurs qui devront débourser 49 euros par an pour être référencer et voyager gratuitement. 10.000 utilisateurs sont déjà enregistrés.
Louez une berline pour 1 €
Même si le train est de plus en plus utilisé pour se déplacer pendant les vacances, les français sont encore 6 sur 10 à partir en voiture. Savez vous qu’il est possible de louer une voiture pour 1 € par jour ? Ne cherchez pas les frais cachés, il n’y en a pas : le prix inclut même une assurance tout risque. Vos seules dépenses à prévoir sont les frais d’essence et de péages. Europcar, Hertz, Ada… la majorité des loueurs de voitures proposent ce nouveau service depuis quelques mois. Pourquoi de tels prix ? La raison est simple. Pour ramener une voiture déposée dans une autre agence que celle dans laquelle une personne l’a louée, les agences mandatent un transporteur qui la ramène sur un camion, ce qui coûte très cher (en moyenne pour 300 euros). Plus de 800.000 voitures doivent être convoyées par an. Luckyloc et Driiveme propose de lister les trajets du moment où une voiture doit être ramener dans une autre ville. Cela permet à l’agence de location d’éviter de mandater un transporteur, ce qui permet de proposer la location à La €. La contrepartie ? Vous n’êtes pas flexible ni sur les dates, ni sur le type de véhicule, ni sur l’agence de location de départ et d’arrivée. Malgré ces contraintes (qui diminuent avec l’augmentation du nombre de trajets proposées), le concept plait ! Driiveme effectue en moyenne une cinquantaine de réservations par jour.
Gagnez de l’argent avec votre voiture lorsque vous êtes en voyage
Et si vous partez en avion, sachez qu’il y a aussi de bons plans pour minimiser vos dépenses. Une semaine de stationnement sur le parking de Roissy coute en moyenne 158 €. Travelercar vous permet de ne pas payer le parking qui accueillera votre voiture durant vos vacances. Comment ? La startup met en fait en location les voitures stationnées pendant que les propriétaires sont en vacances. Le service est déjà disponible aux abords de plusieurs aéroports (Roissy, Toulouse, Lille, Bordeaux) et de gares (Aix en Provence, Lyon). N’ayez par peur, tout est calculé. Vous retrouverez votre voiture à votre retour en France grâce à une organisation sans faille. Si la voiture a été loué, le propriétaire pourra même recevoir quelques euros à son retour.
Article inspiré de l’émission Capital diffusé sur M6 le 5 juin 2016.
Cet article fait parti d’une série de 4 articles sur les bons plans pour voyager gratuitement :
Le budget moyen d’un foyer pour 2 semaines de vacances est de 892 euros. Un tiers de ce budget est consacré au logement. Mais savez vous qu’il est possible de se loger gratuitement durant vos vacances, que vous alliez aux Baléares, à New York ou à Bali ?
L’échange de maison
Parmi les solutions pour se loger gratuitement pendant un voyage, la première est l’échange de maisons. Il existe par exemple GuestToGuest qui vous permet de trouver des personnes avec qui échanger votre maison le temps des vacances. Parmi les 200.000 logements proposés, vous trouverez aussi bien des appartements en centre ville, de belles propriétés, et même des villas, etc. Il ne s’agit en fait pas d’un simple échange de maisons où les uns vont chez les autres et réciproquement et simultanément. A chaque fois que vous prêtez votre maison, vous gagnez des points que vous pouvez « dépenser » en logeant chez un autre membre du site, dans le monde entier. Même si des services optionnels sont payants (comme la caution qui rassure le propriétaire), le service de base est gratuit.
Garder un logement et ses occupants à quatre pattes
Si prêter votre maison à des inconnus vous fait peur, il existe un autre moyen de profiter de celle des autres gratuitement. Nomador est un site qui met en relation des propriétaire de maison et d’animaux, et des candidats à l’hébergement gratuit. La seule contre partie est de s’occuper des plantes ou des animaux des propriétaires (chien, chats, etc.). Là aussi, le service de base est gratuit, à condition de respecter les exigences des propriétaires : promenades quotidiennes, envois de photos, etc. A l’heure actuelle, 2.500 logements sont disponibles sur le site.
Un toit contre un service
La troisième solution, c’est le logement gratuit contre un petit coup de main. Un peu d’aide dans une ferme contre un hébergement au Portugal, ou tenir un bar contre une chambre dans un hôtel en Inde. HelpX et Workaway sont deux services qui listent ce genre d’annonces. Attention toutefois : il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas d’un travail à proprement parlé mais plutôt d’un échange de services.
Le bout de jardin où planter sa tente
Le camping est une tradition française. En moyenne, une nuitée en camping revient à 21 euros. Mais depuis quelques années, le camping a un petit frère : le Gamping, contraction de Garden (jardin en anglais) et Camping. Des propriétaires mettent à disposition une partie de leur jardins pour accueillir quelques campeurs. Plus de 8.000 jardins sont référencés sur les sites Web Français.
Article inspiré de l’émission Capital diffusé sur M6 le 5 juin 2016.
Cet article fait parti d’une série de 4 articles sur les bons plans pour voyager gratuitement :
Ne payez plus vos hébergements pendant vos vacances
Une prise de conscience de l’importance du tourisme dans l’économie de la France est amorcée depuis quelques années. Pour preuve, les 1.500 participants à cet événement qui a eu lieu de 7 juin 2016 à la Cité de la mode et du Design à Paris. Pour l’occasion, le bâtiment très design a été monté sur pilotis! On apprécie l’effort.
L’ouverture de cette journée a été assuré par Martine Pinville, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Nous apprenons que le tourisme représente 7% du PIB en France et que la marge de progression est encore très forte. Parmi les propositions énumérées, nous notons la création d’un city pass regroupant les transports en communs et les activités dans son smartphone. Coté innovation et startups, nous nous réjouissons d’entendre que le tourisme est intégré aux French Tech thématiques (via le Welcome City Lab et la DGE)
Direction ensuite l’Agora 1 pour une réflexion autour du bouleversement qui a lieu en ce moment dans le tourisme : digitalisation, ubérisation et économie collaborative. On nous explique le principe d’Option Way qui propose deux produits :
une option (sur le même principe q’une option d’achat en bourse) : permet de profiter simplement des baisses prix. Vous enregistrez une option d’achat à 800 euros pour un billet d’avion. Dès que le prix baisse jusqu’à atteindre ce prix, celui ci vous est automatiquement acheté.
l’achat smart : Si le prix baisse après l’achat du billet, d’Option Way récrédite la différence au voyageur.
Paris Off Seine innove dans le secteur de l’hôtel de ville. C’est un hôtel flottant sur la Seine qui aurait dû ouvrir début juin. La crue de la Seine a reporté l’ouverture des 58 chambres au mois de juillet.
Hurikat, quand à lui, se définit comme le waze de la file d’attente qui vous aide à ne pas faire la queue via une logique communautaire. Le château de Versailles utilise cette solution pour réguler les flux de visiteurs.
« L’innovation n’a de sens que si l’hébergement est assuré (en terme de quantité et de qualité) » Philippe Maudhui – Atout France
Deuxième temps fort à l’Agora pour parler de l’innovation « servicielles ». Nous retenons la startup Opitrip qui propose un moteur de comparaison des acteurs de la consommation collaborative. Cette startup très jeune ambitionne d’aller plus loin en proposant prochainement un outil de planification de son voyage, en allant piocher parmi la sharing economy pour se loger (Abritel, Airbnb, etc…), se déplacer (Blablacar, Tripndrive, …) et s’occuper (Ceetiz, Bubble Globe, …).
Après une courte pose et la rencontre de Shanti Travel et messortiesculture.com, nous assistons aux pitchs de startups. Parmi les startups présentes, retenons :
Cabinity, la plateforme dédiée aux séjours en cabane, qui représente 2% des nuitées en France.
Boatyng permet de rentabiliser son bateau en toute sécurité. Les fondateurs sont partis du constat qu’un bateau navigue 10 jours par an. et qu’il coute 10% de sa valeur neuf par an.
2kids1bag fait de la location de matériel pour la mobilité des familles. L’ambition est de se concentrer sur les moments avec la familles, la startup s’occupe de la logistique.
Sensafood permet d’internationaliser le menu des restaurants. Pratique pour les allergiques !
Holibag vous garde votre valise chez un commerçant partenaire. Vous n’avez plus qu’à profiter de la ville.
Visiteoo qui répond à la question « et maintenant, qu’est ce qu’on fait ? »
En milieu d’après midi, au forum, nous avons pu découvrir comment le Zoo de Beauval s’est développé en 35 ans, contre les études de marchés et la frilosité des banques. Coté entrepreneuriat, France Anglets nous a expliqué concrètement les différentes étapes qu’une startup doit suivre pour lever des fonds.
La clôture de cette riche journée est assurée par Charles Pépin, philosophe écrivain.
Bon, on a compris que nous étions plus intelligent en vacances grâce au relâchement. Dans la vie de tous les jours, nous n’arrivons pas à vivre au présent. Les vacances nous permettent de retrouver l’épaisseur du présent. Nous partageons l’idée qu’il faut arrêter de dire « j’ai fait tel ou tel chose, tel ou tel pays ». Vous n’avez rien fait. Vous avez simplement reçu. Arrêtons de voir le voyage comme une liste de chose à faire et de case à cocher.
Qui n’a jamais réservé un logement pour ses vacances sans passer le premier jour de ses congés dans un supermarché pour y acheter l’essentiel au bon déroulement de son séjour ? A priori personne …
Aujourd’hui, avec la startup TimeResQ, vous pouvez profiter des premiers jours de votre séjour sans vous soucier de ce dont vous avez besoin, qu’il s’agisse de papier toilette, de shampoing, de nourriture, voir de couches ou de produits pour les soins de votre nouveau né. En plus des repas, TimeResQ élargit sa cible puisqu’il est également possible de commander le pack business (carte SIM + adaptateur) ou el pack transport contenant un pass de 2 jours pour les transports en commun ainsi qu’un plan de la ville. Pratique !
Alors évidemment, les plus pratiqués sur TimeResQ sont plus élevé que si vous faisiez vos achats par vous même. La question à se poser étant la suivante : « combien vaut un croissant qui vous attend à votre appartement à votre arrivée ? ». Pour TimeResQ, la réponse est 3 €, au lieu d’environ 1 € dans une boulangerie classique.
Autre exemple : faut-il se casser le dos pour emporter les croquettes de son chien et ses jouets favoris, passer du temps à aller acheter le sac de croquette au supermarché, ou commander le « Pack du chien » contenu 3 kg de croquettes, 20 friandises et un jouet pour 19 € ?
Les équipes de la startup peuvent livrer vos commandes dans 13 pays différents, à l’adresse et à l’heure choisies.
Après une baisse de 5% des voyages scolaires en 2015 suite au plan Vigipirate, la tendance est à la reprise. On le constate dans les rues par les files d’enfants se tenant la main deux par deux, et sur Memotrips.
Le voyage scolaire est défini comme une sortie organisée sous la responsabilité des établissements scolaires. Les élèves et leurs enseignants partent ensemble à la découverte d’une région, d’un nouveau pays et d’une nouvelle culture. En France ou à l’étranger, les sorties scolaires permettent de s’immerger dans un nouvel environnement à un prix raisonnable, entre copains et loin des parents. Le séjour scolaire est aussi un magnifique outil d’intégration et de cohésion au sein d’une classe ou d’un groupe.
Au départ du bus scolaire, les « au revoir » sont bien souvent rapides. Les uns angoissent un peu de laisser partir leurs progénitures loin du foyer familial alors qu’il souffle un vent de liberté sitôt monté dans le bus pour les autres.
Pour les parents, le plus important est d’avoir régulièrement des nouvelles. Les ados ne sont pas forcément les mieux placés pour ce genre de tâche. C’est pourquoi tenir informé les parents tout au long du voyage est du devoir de l’organisation ou d’un professeur accompagnant. Les solutions ne manquent pas :
Facebook : Connu du plus grand nombre, le réseau social permet de créer des groupes publics ou privés où l’accompagnateur pourra donner des nouvelles de temps en temps via des « statuts » ou des photos. N’oublions pas que les personnes sont de plus en plus réfractaires à se créer un compte sur un site Web connu pour sa politique de confidentialité des données très floues.
E-mail : La solution de l’email est très certainement la plus simple. Des nouvelles sont envoyées par e-mail aux parents. L’accompagnateur devra toutefois récolter l’ensemble des adresses e-mail avant le départ. Attention à ne pas envoyer trop de messages et trop de photos, ce qui pourrait surcharger et bloquer la boite email des parents.
Memotrips : Il s’agit d’un service Web et mobile permettant de créer un carnet de voyage privé ou public. L’accompagnateur pourra ajouter des étapes (textes/photos/commentaires/géolocalisation) à son carnet de voyage très simplement via l’application mobile Android et iOS qui gère le mode offline. Les parents pourront se connecter à ce carnet de voyage numérique (sur le Web ou via les app mobiles), y déposer des commentaires et être notifiés à chaque mise à jour s’ils le souhaitent. Aucune obligation de s’inscrire pour les parents et les données personnelles sont hébergés en France. Et cerise sur le gâteau, le service est entièrement gratuit. Exemple : Le lycée Saint André en Roumanie
Depuis plus de 30 ans, l’association L’enfant@l’hôpital utilise toute la richesse des nouvelles technologies pour apporter la culture et l’évasion aux enfants et adolescents malades ou handicapés, hospitalisés dans toute la France.
Pour permettre à tous de lire, écrire, compter et apprendre malgré tout, l’association a développé Kolibri, une plate-forme interactive. Kolibri permet des dialogues entre les enfants, des explorateurs aux quatre coins de la planète,
et de joyeux savants ou artistes passionnés. Cette application web unique propose également devinettes mathématiques, découverte de la peinture ou de la musique, et reportages sur les pays, les animaux, les métiers…
Sur le terrain, de jeunes volontaires, en particulier polytechniciens en service civil, animent avec Kolibri des ateliers bâtis sur mesure pour stimuler la lecture/écriture, l’expression orale et le retour aux apprentissages.
Depuis 2010, à la demande des enseignants qui apprécient ses méthodes, l’association a élargi son champ d’action aux élèves en voie d’exclusion de collèges en grande difficulté.
Présente dans toute la France auprès de 50 services hospitaliers et centres de rééducation, et aussi de 5 collèges fragiles, l’association aide chaque année plus de 3 000 enfants et leurs enseignants à surmonter leurs difficultés
et apprendre autrement. Le travail de l’association L’enfant@l’hôpital est unique au monde. C’est pourquoi, parmi de multiples distinctions, elle a été lauréate du 1er prix mondial de la création de contenu Internet contre l’exclusion.
L’association est agréée par le Ministère de l’Education Nationale et reconnue à caractère exclusif de bienfaisance.
Memotrips va mettre à disposition son expertise technique aurpès des équipes de Kolibri afin d’améliorer sa plateforme Web et apporter de nouvelles fonctionnalités (comme la possibilité d’alimenter Kolibri par des applications mobiles).
Les États-Unis sont une destination très prisés depuis de nombreuses années. Les innombrables paysages à couper le souffle, tel que le grand canyon, la Silicon Valley ou New York, sont des merveilles qui réunissent tous les ans des millions de visiteurs. Les décors de cinéma américains ont également la cote et font rêver les petits et les grands.
Quelles sont les formalités pour pouvoir effectuer un voyage aux États-Unis ?
Si vous voulez un jour visiter ce fabuleux pays qui regorge d’une diversité étonnante aussi bien dans ses paysages que dans ses nombreuses cultures, vous devrez obligatoirement vous faire connaître auprès du pays de l’oncle Sam avant votre venue sur le territoire.
En effet, depuis que les États-Unis ont renforcé leur système de protection au niveau des frontières, il est obligatoire de faire une demande d’autorisation de voyage pour pouvoir fouler le sol américain pour une durée de séjour de moins de 3 mois, et ceci même si vous effectuez un transit pour vous rendre dans un autre pays.
Cette formalité administrative, simple et rapide à compléter, s’appelle l’ESTA. La traduction en anglais veut dire Electronic System for Travel Authorization, et en français Système Électronique d’Autorisation de Voyage.
À quoi sert-elle ?
Vous en avez déjà peut-être entendu parler indirectement lors de conversation entre amis. On a tous déjà entendu au moins une fois une personne parler des formalités contraignantes, ou des questions bizarres auxquelles il faut éviter de répondre oui, pour entrer aux États-Unis.
Sans le savoir, vous étiez déjà informé sur l’ESTA, mais cet article est là pour vous apporter des informations supplémentaires.
C’est une procédure qui a été mise en place par les États-Unis le 12 janvier 2009 dans le programme d’exemption de visa. Cela vous permet de voyager plus simplement, car vous n’avez pas besoin d’obtenir un visa si votre séjour est de moins de 90 jours et c’est une sécurité en plus pour les États-Unis afin de filtrer les voyageurs qui se rendent là-bas et qui auraient une idée peu scrupuleuse derrière la tête.
Qui peut faire la demande d’une autorisation ESTA ?
Les conditions pour pouvoir entrer sur le territoire avec l’autorisation ESTA est de voyager avec un motif bien précis. Seuls les touristes et les voyageurs d’affaires, voulant se rendre à des réunions ou à des séminaires, sont autorisés à recevoir une approbation ESTA. Il est strictement interdit de vouloir voyager aux États-Unis avec ESTA si vous voulez y travailler contre une rémunération ou pour toutes autres raisons qui iraient contre la volonté de l’État.
Chaque personne doit impérativement faire une demande. Que vous voyagez seul ou à plusieurs, avec des enfants en bas âges ou des personnes âgées, personne ne peut y échapper. Vous devrez communiquer vos données personnelles et répondre à des questions portant sur divers sujets directement via le formulaire en vous acquittant d’un montant de 14 dollars par personne.
Bien entendu, tout le monde ne peut pas bénéficier du programme d’exemption de visa, seul les personnes possédant la nationalité dont le pays est membre du programme peuvent y avoir accès.
Alors si vous voulez bientôt voyager aux États-Unis, nous vous conseillons de faire votre demande ESTA dès que vous envisagez votre séjour. Les demandes se font au plus tard 72 heures avant le voyage, mais il est préférable de s’y prendre le plus tôt possible afin d’éviter tous risques de désagréments.
La vie d'expatrié fait rêver. Pour preuve, plus de 1, 6 million de Français sont inscrits au registre des Français établis à l’étranger, avec une augmentation de 35 % au cours des dix dernières années. Florian Mosca et Laurent Lingelser retracent le parcours d'une dizaine d'entre eux qui ont fait le choix de tout quitter pour vivre "la suite du reste de leur vie" à l'étranger.
Hier soir, 11 mai 2016, nous avons eu la chance d’assister à l’avant première de Génération Expat à Paris lors d’un ApéroVoyageurs-Projection des Passeurs d’Aventures sur le rooftop du cinéma Etoile Lilas. Salle comble pour les deux projections de ce documentaire de 45 min en présence des deux compères des coflocs et du Ministère des Affaires Etrangères.
Mêlant interviews, morceaux de vie au quotidien et superbes paysages filmés par un drone, le documentaire est superbement réalisé. La dizaine d’expatriés nous explique ce qui les a poussés à partir, les joies et difficultés rencontrées, le quotidien d’expatriés et les différences de cultures, leur vision de la vie à l’étranger et la suite de leurs aventures. Au programme : Brésil, Pérou, Colombie, Quebec, Thailande, Singapour, Malaisie, Nouvelle Zelande et Inde.
Nous avons beaucoup aimé le rythme du documentaire qui alterne confidences avec humour, plans larges et citations impactantes. Au bout des 45 min, on en redemande. A vous de juger !
Un film de Florian Mosca et Laurent Lingelser
Réalisation : Florian Mosca, Flomotionprod
Co-Production : Chapka Assurances et Laurent Lingelser Group
Avec la participation du Ministère des Affaires Etrangères et le soutien de Airbnb
Aujourd’hui, les voyageurs amateurs de road trip veulent s’assurer que l’itinéraire qu’ils ont en tête est le meilleur et couvre le maximum de lieux d’intérêt. Sur les groupes de voyageurs Facebook par exemple, de plus en plus de voyageurs postent leur itinéraires dessinés sur Google Maps afin de récolter des avis fiables et personnels. La solution de créer un itinéraire sur Google Maps a toutefois ses limites :
le voyageur ne pourra pas indiquer chaque étape en détail (type d’étape, description, heure, etc.)
le partage d’une carte Google Maps personnalisée n’est pas chose facile
l’itinéraire n’est pas pérenne dans le temps
Pour créer un itinéraire de road trip, la solution la plus simple est Memotrips. La création du trajet et le partage sur les réseaux sociaux est intuitive et à la portée de tous. Créez votre carnet de voyage, renseignez chacun de vos étapes en y indiquant l’adresse, la date, une description et le type d’étape (transport, hébergement, restaurant, etc.). Ensuite, vous pouvez choisir entre la vue timeline et la vue carte pour partager votre itinéraire de road trip sur Facebook, Twitter ou par e-mail.
Une fois les avis récoltés, vous pouvez modifier votre itinéraire à tout moment pour le rendre accessible à ceux qui le consulte.
Memotrips prend tout son sens quand vous allez vous connecter à votre compte Memotrips depuis votre smartphone pour récupérer automatiquement votre itinéraire afin de pouvoir le consulter en mode offline.
Au premier jour de votre voyage, votre itinéraire va automatiquement se transformer en carnet de voyage mobile, social et ludique. Vous allez ainsi pouvoir l’enrichir de nouvelles étapes, de photos, de commentaires et le partager avec vos proches afin de partager votre périple avec eux.
A l'heure où les débats s'intensifient entre des taxis et les VTC, nous sommes convaincus que la résolution passera par l'innovation. Triperz s'est engouffré dans cette brèche avec un service permettant de faire baisser la facture de taxis.
Pouvez vous expliquer le concept de Triperz?
Le concept est ultra simple: Triperz est une application de partage de taxi au départ des gares et des aéroports. Basé sur un système de géolocalisation et de matching, Triperz met en contact les personnes se rendant dans la même direction et souhaitant faire des économies sur leurs trajets retour.
En plus de la mise en relation, Triperz s’occupe également du remboursement entre les différents participants.
Qui se cache derrière Triperz?
Une équipe très hétéroclite !! En plus des 2 cofondateurs venant respectivement du monde pharmaceutique et de la finance, la majeure partie de l’équipe est en charge du développement. Car même si le concept est simple, le système repose sur un algorithme complexe avec différentes mécaniques aussi bien la recherche du « co triperz » que la partie paiement sécurisé.
Nous avons également une personne en charge de l’acquisition… le nerf de la guerre sur ce genre de modèle qui nécessite une communauté importante et active.
Comment avez vous eu l’idée?
C’est en rentrant de voyage qu’Arnaud et moi avons eu l’idée. Nous avons fait plus de 45 minutes de queue pour avoir un taxi sauf qu’on n’allait pas au même endroit, du coup j’ai partagé mon taxi avec une personne dans la file.
Sans le savoir cette personne a été notre 1er utilisateur :)
Justement comment se passe la sélection de son « co-triperz »?
Après vous être connecté à l’application, vous rentrez votre adresse de destination. Triperz s’occupe alors de vous proposer l’ensemble des utilisateurs autour de vous se rendant dans la même direction. Grâce a notre algo de calcul d’itinéraire et de prix on ne vous propose que les utilisateurs avec lesquels vous êtes certains de réaliser une économie. Il ne vous reste plus qu’à choisir et vous retrouver à l’endroit indiqué.
Et ensuite?
Le 1er à descendre saisi dans l’app le montant tel qu’affiché au compteur au moment de sa descente. Le 2e passager, qui paiera l’ensemble de la course au chauffeur une fois arrivé à destination, est immédiatement crédité de 50% de ce montant (il est donc remboursé avant de payer). Et dans le cas ou il y aurait un quelconque problème tout est prévu: une simple photo du compteur via la fonctionnalité intégrée dans l’app vous permet d être certain d’être remboursé pour votre course partagée . De plus et grâce à notre plateforme, toutes les transactions sont 100% sécurisée, c’est primordial.
Le service est disponible avec l’ensemble des taxis? Comment ont il appréhendé ce nouveau service?
Nous sommes 100% indépendant et donc utilisable avec toutes les compagnies.
Nous avons été très agréablement surpris par l’accueil que nous a fait le secteur. Tout a fait conscient de la nécessité de « redorer » leur image, nous avons été soutenu par l’ensemble du réseau.
Parlons business model, comment vous financez vous?
Nous prélevons 2€ à chaque utilisateur par trajet effectué. Au regard de l’économie effectué ce montant est très bien accepté par notre communauté.
Quels sont vos projets pour la suite?
Conquérir le monde :)) Plus sérieusement, nous sommes en ce moment en négociation avec plusieurs aéroports français pour bénéficier de couloir réservé aux utilisateurs de notre application. Ceci afin de désengorger et de donner une meilleure fluidité au trafic de passager dans les aéroports.
Un dernier mot pour nos voyageurs connectés?
En plus de réaliser des économies, Triperz vous permettra également de faire un geste pour la planète en réduisant les émissions de cO2, car être connecté peut également dire soucieux de l’environnement.
Et parlez en autour de vous car encore une fois de plus, plus nous serons nombreux à l’utiliser plus nous pourrons bénéficier d’économie :)
Disponible sur iOs et android et comptant déjà plusieurs milliers d’utilisateurs, nous souhaitons une longue route à Triperz !!